
D’Angélique Villeneuve, nous connaissons déjà un titre : Un Territoire.
J’ai eu envie de mieux découvrir son univers en lisant, cette fois, le dernier roman qu’elle a publié le 7 février de cette année.
En voici l’incipit. Comment allons-nous entrer dans la vie de Maria ?
À nous, jusqu’au 18 mars, à 20 h… Vos contributions ne dépasseront pas 100 mots, comme stipulé dans la règle du jeu.
On se lance dans l’aventure ? Mercredi prochain, je vous présenterai ce livre et son auteur. D’avance, merci de vos participations. Je citerai l’un d’entre nous, un fidèle parmi les fidèles de ces rendez vous : « un miracle hebdomadaire, ces assemblages ingénieux de nos singularités qui débouchent sur des textes cohérents ».
Patchcath – Julien/Le Fictiologue – Lydia/Mes Promenades Culturelles – Martine/Écri’Turbulente – Isabelle/Les Lectures d’Asphodèle –
Il me semblait avoir vu et commenté ce billet il y a 2/3 jours ? Deviendrais-je folle ??? 😆 Bon, je te le redis : je participe !♥
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Vu le billet, sans doute, depuis jeudi il est en ligne. Commenté… je ne sais pas, je n’en trouve pas trace. Participer… Yes, je t’attends ❤
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Si, je suis sûre de l’avoir commenté mais du Samsung, alors je ne garantis rien ! 😆 Voici ma piètre participation. Je ne connais pas encore Angélique Villeneuve mais j’ai hâte de lire son « Soir de septembre », pour commencer.
« Dans cette obscurité incertaine, Maria est tétanisée et voudrait chasser les fantômes qui défilent sous ses paupières mi-closes. Elle ne veut plus penser au bébé, il lui inspire un sombre pressentiment, plus sombre encore que cette chambre baignée de nuit en plein jour, elle est comme sous un pal. Elle veut des couleurs, des arbres pleins d’oiseaux, des ciels changeants au crépuscule et des visages tendus d’amour à ses côtés. Elle a besoin d’une main dans la sienne, pour célébrer cette épiphanie merveilleuse : seules les couleurs redonnent consistance et contours à son existence malmenée, à la traîne et à la peine. » 102 mots .
Bouh, j’ai du mal à faire 100 tout rond ! Bisous ma Tine♥
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Bien reçu, cette fois.
J’aime beaucoup l’univers d’Angélique Villeneuve. D’elle, je connais « Territoire » (https://ecriturbulente.com/2018/02/21/angelique-villeneuve-un-territoire-compil-incipit-25/) à propos duquel nous avons construit une suite d’incipit, et — maintenant — Maria.
Des thématiques très très différentes, qui, l’une et l’autre m’ont donner à réfléchir…
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J’ai lu la 4ème de couv de Nuit de Septembre… Pour des raisons qui nous relient toutes les deux, c’est un livre que je ne lirai pas, vois-tu…
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J’adore cette romancière. Je n’ai pas encore lu son petit dernier mais je compte bien le faire. Voici ma contribution :
« Toutes ses nuits se ressemblent. Les insomnies s’enchaînent. Les cauchemars aussi. »
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Désormais, lui semble-t-elle, sa vie n’est plus d’un seul tenant. Elle est composée de « morceaux » : un morceau de solitude, un morceau de l’indispensable attention que requiert le bébé, un morceau d’insomnie, un morceau de boulot, un morceau de quotidien, et puis ce vilain morceau tout noir, tranchant, logé dans son cœur comme un shrapnel. Mais pourquoi William est-il parti ? se demande-t-elle. Pourquoi partent-ils tous, bon sang ?
(71 mots)
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Bonjour Martine,
Si ce sont les premières lignes du livre, elles sont pleines de mystères et incitent à connaitre l’histoire de Maria; je l’ai imaginé grand-mère et voici ma suite et 80mots pour cet incipit29 :
« Elle n’a pas besoin de réveil et a une petite idée de l’heure qu’il est. Elle a envie de s’étendre et de sortir ses bras de dessous les draps, mais elle ne bougera pas et profitera encore de leur chaleur. Le temps de la retraite n’a rien changé, elle se réveille toujours de la même façon depuis cette nuit-là. Elle sait que les oiseaux vont bientôt se mettre à chanter et c’est là qu’elle décidera de mettre les pieds par terre. »
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