À propos de Berlioz, je partage entièrement ton avis….
Quant au cheval, il a été réalisé, en chantier participatif par les membres de l’association Georges Antonin, les métiers d’antan.
Tu peux les retrouver sur https://www.facebook.com/georges.antonin.38590/
Pénélope n’a toujours pas de nouvelles d’Ulysse 😦
Bien sûr, j’allais te dire le cheval de Troie et non Troyes ?…
Martine, ce Festival est bien connu dans la région 😆
Les musiciens doivent avoir chaud dedans 🙄
Gros bisous
Il n’y sont restés que le temps d’une parade dans la ville. Le cheval était tiré à bras d’hommes, aidés par deux superbes bœufs (Silent #167), pour l’inauguration du festival. Maintenant, la bébête trône dans la cour du Chateau Louis XI à La Côte Saint-André.
Je me souviens de tes deux grands boeufs, Martine 😉
Quelle relation pour ce cheval avec le Festival ? Tu en as peut-être déjà parlé en fait ? Pardon pour cet oubli de ma part…
Bonne semaine et gros bisous
En Isère, oui, et plus particulièrement à La Côte Saint-André, qui, chaque année organise un festival international pour son illustre compositeur : Hector Berlioz.
Pour le 150° anniversaire de sa mort, c’est sur le thème des Troyens, opéra composé entre 1856 et 1858, que la cité a choisi de mettre en valeur l’enfant du pays.
Les Troyens => Le Cheval de Troyes… il n’y eut qu’un pas !
Non, en Dauphiné ! Paradoxal, peut-être. Mais Quoi de mieux cependant, pour illustrer l’opéra magistral d’Hector Berlioz, enfant de La Côte Saint-André, « Les Troyens », que de construire un cheval de Troie ? Mieux encore : un cheval qui puisse, comme dans la légende, entrer dans les murs de la cité ?
Eh bien, ça, c’est fait !
De moi ? De tous les concitoyens d’un certain Berlioz, Hector (ou Totor pour les intimes), qui transposa en musique la prise de Troie…
Haut de 6,10 mètres, le cheval de bois a été tiré dans la ville jusqu’au château Louis XI. Pour ce faire, une quarantaine de bras n’a pas été de trop, ainsi que des bêtes de trait (ma photo du 18 août – ou même des tracteurs.
Une dizaine de musiciens étaient cachés dans le ventre de « la bête » qui a été construite dans le cadre d’un chantier participatif.
Berlioz … un peu trop pompier pour moi cette musique …
Bravo aux menuisiers , un chouette boulot qui n’aurait pas laissé Ulysse de bois !
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À propos de Berlioz, je partage entièrement ton avis….
Quant au cheval, il a été réalisé, en chantier participatif par les membres de l’association Georges Antonin, les métiers d’antan.
Tu peux les retrouver sur
https://www.facebook.com/georges.antonin.38590/
Pénélope n’a toujours pas de nouvelles d’Ulysse 😦
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à mon avis c’est un cheval géant en hommage à Berlioz au Festival de La Côte Saint-André !! 😉
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Gagné ❤
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Je croyais qu’il n’y avait qu’à ces pauvres vaches que l’on installait un hublot !
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MDR… je n’y avait même pas pensé !!!
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Bien sûr, j’allais te dire le cheval de Troie et non Troyes ?…
Martine, ce Festival est bien connu dans la région 😆
Les musiciens doivent avoir chaud dedans 🙄
Gros bisous
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Il n’y sont restés que le temps d’une parade dans la ville. Le cheval était tiré à bras d’hommes, aidés par deux superbes bœufs (Silent #167), pour l’inauguration du festival. Maintenant, la bébête trône dans la cour du Chateau Louis XI à La Côte Saint-André.
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Je me souviens de tes deux grands boeufs, Martine 😉
Quelle relation pour ce cheval avec le Festival ? Tu en as peut-être déjà parlé en fait ? Pardon pour cet oubli de ma part…
Bonne semaine et gros bisous
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L’opéra « Les Troyens » de Berlioz…
Bises
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Mais bon sang c’est bien sûr… 😳
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Et, Ulysse était-il à l’intérieur ?
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Non :(, mais une quinzaine de musiciens 😀
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Sacré Cheval ! 🙂 en Isère ! ça sonne pas avec Troie 😀
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En Isère, oui, et plus particulièrement à La Côte Saint-André, qui, chaque année organise un festival international pour son illustre compositeur : Hector Berlioz.
Pour le 150° anniversaire de sa mort, c’est sur le thème des Troyens, opéra composé entre 1856 et 1858, que la cité a choisi de mettre en valeur l’enfant du pays.
Les Troyens => Le Cheval de Troyes… il n’y eut qu’un pas !
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Tout s’explique! 🙂 Merci pour l’info.
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Cheval de Troyes … en Champagne ?
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Non, en Dauphiné ! Paradoxal, peut-être. Mais Quoi de mieux cependant, pour illustrer l’opéra magistral d’Hector Berlioz, enfant de La Côte Saint-André, « Les Troyens », que de construire un cheval de Troie ? Mieux encore : un cheval qui puisse, comme dans la légende, entrer dans les murs de la cité ?
Eh bien, ça, c’est fait !
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Bravo !
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C’est le cheval de toi ?
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De moi ? De tous les concitoyens d’un certain Berlioz, Hector (ou Totor pour les intimes), qui transposa en musique la prise de Troie…
Haut de 6,10 mètres, le cheval de bois a été tiré dans la ville jusqu’au château Louis XI. Pour ce faire, une quarantaine de bras n’a pas été de trop, ainsi que des bêtes de trait (ma photo du 18 août – ou même des tracteurs.
Une dizaine de musiciens étaient cachés dans le ventre de « la bête » qui a été construite dans le cadre d’un chantier participatif.
https://ecriturbulente.com/2019/08/18/silent-sunday-167/)
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