
Celui que chacun de nous aime particulièrement, le village natal,
celui où l’on vit,
celui des origines familiales,
celui où l’on passe ses vacances…
C’est ce que suggère, en ce mois de juin, l’animatrice de la photo du mois (clic).
Faramans, en Isère, est un village d’un peu plus de 1 000 habitants. J’y vis et m’y suis enracinée depuis 25 ans, au point que les autochtones, pourtant peu enclins à reconnaître les non natifs de chez eux, disent m’avoir adoptée. Adoption réciproque, et pour des tas de raisons !
Voici le lavoir, un vrai, où autrefois, les femmes allaient laver le linge, dans le courant d’une petite rivière, Les Eydoches. Une rivière à truites. Maintenant, le lavoir sert de nursery aux œufs de truites, le temps qu’ils éclosent dans une eau pure et froide, que les alevins forcissent et soient assez dégourdis pour affronter les eaux vives, avec tous les pièges qu’elles comportent.
Villageons donc joyeusement avec les autres photonautes !
Akaieric, Alexinparis, Amartia, Angélique, Betty, Blogoth67, Brindille, Cara, Christophe, Cocazzz, Cynthia, Céline in Paris, Danièle.B, DelphineF, El Padawan, Escribouillages, Eurydice, FerdyPainD’épice, Frédéric, Gilsoub, Gine, Giselle 43, J’habite à Waterford, Jakline, Josette, Josiane, Julia, Krn, La Tribu de Chacha, Lau* des montagnes, Laulinea, Laurent Nicolas, Lavandine, Lilousoleil, magda627, Mamysoren, Marie-Paule, Mirovinben, Morgane Byloos Photography, Nanouk, Philisine Cave, Pilisi, Pink Turtle, Renepaulhenry, Sous mon arbre, Tambour Major, Travelparenthesis, Who cares?, Xoliv’, Écri’turbulente.
© Écri’Turbulente – 15 juin 2019
la fraicheur d’un lavoir , ce qui fait partie du vécu des habitants
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L’endroit inspire la poésie 🙂
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❤
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j’adore les photos de ces villages , en souvenir de mon enfance passée dans l’un d’eux…avec 2 amies, il y a quelques années, nous avons visité pratiquement tous les vieux villages avec des lavoirs…c’était magique!
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Les lavoirs de village ou de ville sont bien souvent de véritables merveilles et gardent l’âme de ce passé des épouses, mères qui trimaient dur dur pour laver le linge. J’avais quatre ans, lorsque j’ai pu voir ce geste à accomplir dans la rivière chez ma tante en France.
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Moi, c’est ma Maman que je voyais, chaque semaine, aller rincer le linge au lavoir. En 1958, le matin de la naissance de mon petit frère, elle s’y est rendue avant de partir accoucher !
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C’est connu qu’une femme avant d’accoucher commence à nettoyer ou s’activer. Faire son grand nettoyage, lessiver comme tu l’écris. Ceci c’était pour la génération de mes enfants nés en 1972 et 1978. Du temps de maman, comme perso, je suis née deux mois avant terme, j’ai pris tout le monde par surprise et ce fut ensuite un véritable bazar familial et administratif. En ville à Bruxelles, cela n’existait plus. Quant à ma tante, elle n’a pas eu la joie d’avoir des enfants. Elle a eu un neveu dans cette belle région Française. Le Blanc : https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Blanc_(Indre)
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Là, en l’occurrence, elle ne commençait pas à s’activer… elle avait passer une partie de la nuit à aider mon père, boulanger-pâtissier, à confectionner les viennoiseries !
Tiens !
Ma Maman a passé son enfance et sa jeunesse au Blanc (à Le Blanc) 😀
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Un grand merci pour ce partage ! Bon dimanche !
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Bravo pour cette double adoption réussie!
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Une adoption qui touche au coeur – et une jolie utilisation de ce vieux lavoir!
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Un lavoir qui a trouvé une deuxième vie, c’est génial!
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La terre et l’eau aussi nous adoptent.
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J’aime beaucoup ces photos qui permettent de connaître les villages qui recèlent toujours des petits trésors comme ce lavoir.
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