
Mais demain a le même visage
un ciel peut-être un peu différent
pas assez pourtant pour qu’on comprenne
ce qu’on voudrait dire se retire
ce qui vient c’est toujours autre chose
tu ne t’y reconnais pas tu entres
dans ce qui au fond de la voix n’a
pas de voix tu restes là sans mots
comme la lumière sur les mains.
Jacques Ancet, Vingt-quatre heures l’été
Tic-tac…
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tic tac
toé
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Heureusement qu’il me restait des virgules au fond de la poche ! 😀
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Peut-être qu’il n’existe pas de virgule entre chaque seconde qui s »écoule…
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C’est juste question de les ralentir dans les virages !
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🙂
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Magnifique et comme un écho…❤
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La lumière sur les mains
ça peut être un moyen
d’éclairer un peu la page
et d’y voir un peu plus clairement
ce que ce fichu stylo
pourrait avoir
envie d’écrire ?
(l’an prochain)
Monsieur Ancet le dit très bien mais je sais que tu le dirais mieux encore.
chiche ?
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Ma pensée clepsydre
laisse ruisseler
les mots
comme dégouttellent les secondes
dans le sablier
du temps.
Impossibles à étreindre
ils virevoussent
en culbutis
et boycottent la feuille
par crainte de la froisser
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